
Jean-Baptiste Soulard redonne vie à son album Le Silence et L’eau (Le Renouveau) qui ressort avec trois titres inédits le 27/11. Ce concept album très voyageur est inspiré par le livre Dans Les Forêts de Sibérie de Sylvain Tesson.
Nouvel extrait, Jean-Baptiste Soulard dévoile Omble Chevalier avec JP Nataf en invité.
« Il est temps de quitter la ville et de tirer sur les discours le rideau des forêts ». La citation est extraite du livre de Sylvain Tesson, Dans Les Forêts de Sibérie, et illustre à merveille le premier album de Jean-Baptiste Soulard qu’il a inspiré, Le Silence et l’Eau.
Escapade en solo du cofondateur de Palatine, disque plein de grâce, Le Silence et l’Eau chante et invoque une Sibérie imaginaire, paysages de glace et de mystère, espaces vierges à peine frôlés de froissements d’ailes et de pas dans la neige. Aussi furtifs et délicats que les invisibles visiteurs de l’exilé volontaire dans son isba de rêve, les titres s’y succèdent, air libre, vers libres, et nous invitent au grand départ.
Parmi l’une des révélations indie folk hexagonales, on pourra également compter sur l’aide de Jean-Baptiste Soulard. Il n’est pas un novice dans cette scène car il est guitariste du groupe Palatine et pour la chanteuse israélienne Roni Alter et il est temps pour lui de faire ses preuves en solo avec un premier disque du nom de Le silence et l’eau.
Pour l’accompagner, Jean-Baptiste Soulard a invité des artistes comme JP Nataf, Erik Truffaz, Emily Loizeau, Luciole, Blick Bassy, Raphaël Personnaz qui a joué dans le film Dans Les Forêts de Sibérie et Bessa que l’on retrouvait sur le premier extrait, « Grand Baïkal ».
Notre clip à découvrir, celui de Jean-Baptiste Soulard – Omble chevalier (feat. JP Nataf) (Clip Officiel) :
« Autour de nous, les contextes agressifs se superposent les uns aux autres, s’entrechoquent, s’additionnent et se multiplient : le contexte économique, social, politique, l’inaction écologique et depuis des mois le contexte sanitaire qui prend le pas sur tout le reste. Sur-urbanisation, ultra-mondialisation, optimisation constante de la performance, marginalisation de ceux qui décrochent. Que reste- t-il de bienveillant, de poétique, de philanthropique, dans ce XXIème siècle qui se révèle toujours un peu plus périlleux chaque année ? » Jean-Baptiste Soulard
Composé de 14 titres pour une demie-heure de musique, Jean-Baptiste Soulard nous offre des ballades indie folk baroques à l’image de « Fer rouge », « Débâcle » ainsi que de « Cerbère » aux arrangements si harmonieux qui ont de quoi nous faire voyager très loin. Il pourra également compter sur la participation d’un grand nombre d’invités qui l’aidera à faire voyager ses pensées et les nôtres.