
Stéphanie Acquette nous revient avec une vidéo cinématographique de très haut vol, D’un rien, réalisé par elle-même, tel un film vintage à la poésie nostalgique qui nous a fait fonde de bonheur.
Après Je m’en vais, Stéphanie Acquette dévoile D’un rien, un clip à l’univers sixties proche de Michel Gondry qu’elle a elle-même réalisé.
La pochette le montre bien, la chanteuse fait défiler chaque moment comme une diapositive, pour varier à chaque fois les univers, comme si chaque chanson recelait en elle-même un mini-univers cinématographique. Nourrie à la musique et au 7e art, Stéphanie Acquette a intégré des éléments très personnels dans ses chansons. Le clip de sa chanson Je m’en vais réalisé par Raphaëlle Chovin reprend le thème de la femme au foyer des années 50, avec ce cadre rigide d’où la femme veut pouvoir s’échapper pour vivre sa vie comme elle l’entend.
Elle se produit régulièrement en tant que musicienne sur les scènes parisiennes (Les 3 Baudets, le Pop In, le Supersonic, Les Etoiles…) et les théâtres de France (le Volcan, le Train-Théâtre, l’Adagio, l’Eden…). Stéphanie Acquette dévoile enfin son premier album Diaporama, porté par les clips remarqués de Je M’en Vais et D’un Rien.
« On s’est manqués d’un rien
D’un geste
On n’a pas pris la peine
De se parler tout bas
On s’est menti si bien
Paresse
Oubliées les promesses
Qu’on a pu se donner… » extrait de la chanson D’un Rien
A voir absolument, le clip D’un Rien :
Réalisé par Stéphanie Acquette
Production : Sanctuaire Records / Le OFF audiovisuel avec La réceptionniste : Stéphanie Acquette
Enfant, Stéphanie Acquette s’initie à la musique par l’apprentissage d’instruments pour le moins peu communs : la cornemuse et les flûtes irlandaises. La guitare viendra quelques années plus tard. Elle se forme ensuite à Science Po, l’Institut des Langues Orientales et les Conservatoires de St Maur et Créteil et poursuit son parcours d’artiste en se nourrissant de chants traditionnels et de cinéma, beaucoup de cinéma.
Riche de ces expériences diverses et variées, l’artiste commence à écrire des chansons qui lui ressemblent. Elle se produit sur différentes scènes parisiennes et en province. C’est à un véritable festival de petits courts-métrages que Stéphanie convie le public aujourd’hui. Sa proposition : vous faire voir la vie en technicolor avec onze chansons douces sur lesquelles souffle les alizés et la douceur de vivre.