
John Milk, fier représentant de la soul, du funk et du groove de qualité en France, revient avec le maxi Don’t Blame the Hammer. Séduction garantie avec ce son très seventies.
Don’t Blame the Hammer montre le talent de producteur de John Milk avec un son vintage très Motown ou Hi Records.
John Milk nous revient avec Don’t Blame the Hammer et c’est une très bonne nouvelle pour cet activiste soul/funk que l’on suit depuis déjà quelques années grâce au label Underdog Records. John Milk est un cocktail onctueux et groovy 100% son analogique ! Prenez une bonne dose de soul américaine des 60′, et mélangez la avec le meilleur du funk des années 70. Shakez énergiquement le tout avec un pincée d’afrobeat et ajoutez un zeste de jazz. Le lyonnais aujourd’hui parisien peut se vanter d’avoir une triple casquette, c’est-à-dire chanteur « crooner »/rappeur/beatmaker et d’assurer sur ces trois tâches avec brio.
Le clip de Don’t Blame the Hammer :
Prenez une bonne dose de soul américaine des 60′, et mélangez la avec le meilleur du funk des années 70. Shakez énergiquement le tout avec un pincée d’afrobeat et ajoutez un zeste de jazz. Voilà la délicieuse recette de ce groupe mené par la voix lactée du chanteur John Milk. Après deux albums de Soul classique salué par les médias français et la scène européenne, John Milk revient avec « Don’t Blame the Hammer », un nouvel EP de R&B moderne et engagé avec des remixes de Patchworks (Joao Selva, Voilaaa, Mr President …), BLANKA (La Fine Equipe).
Osant la synthèse de JayDilla et de Prince, John Milk assure une fois de plus son authenticité par un projet totalement autoproduit alliant l’organique au digital.